Thursday 23 August 2012

Dans le journal aujourd'hui

KENYA
Au moins 52 morts dans des affrontements ethniques

AFP
22/08/2012 08h43

NAIROBI - Au moins 52 personnes, dont une majorité de femmes et d'enfants, ont été massacrées à la machette ou brûlées vives dans la nuit de mardi à mercredi par des hommes armés qui ont attaqué une communauté rivale dans le sud-est du Kenya, a déclaré la police locale.

«Quatre autres personnes sont décédées (de leurs blessures), en plus des 48 qui étaient mortes sur place,» a affirmé Joseph Kitur, chef-adjoint de la police de la Province côtière où s'est produite l'attaque. Il faisait référence au précédent bilan de 48 morts fourni par les forces de l'ordre.

Il s'agit de l'attaque à caractère ethnique la plus meurtrière au Kenya depuis les violences post-électorales de fin 2007 et début 2008.

Selon M. Kitur, le raid a été mené dans le district rural de Tana River, à quelque 300 km au sud-est de la capitale Nairobi, par des hommes Pokomo contre des villageois Orma, deux communautés rivales depuis des années.

Parmi les victimes, figurent au moins 31 femmes et 11 enfants, avait indiqué plus tôt mercredi M. Kitur. «C'est un évènement terrible, 34 personnes ont été tuées à coups de machettes et 14 autres ont été brûlées vives», avait-il ajouté, précisant que des habitations avaient aussi été incendiées.

«Notre enquête montre que ce sont les Pokomo qui ont attaqué des Orma vivant sur une île», a-t-il précisé.

Mais selon un député local, Danson Mungatana, l'attaque de mardi soir était un acte de représailles.

Il y a une dizaine de jours, des Orma auraient tué trois Pokomo. Des membres de la communauté Pokomo auraient alors massacré près de 200 têtes de bétail d'Orma, qui auraient à leur tour de nouveau attaqué des villages Pokomo et brûlé plus de 100 maisons, a-t-il raconté.

Présence policière renforcée

Toujours selon le député, la présence policière a été accrue dans la région depuis les derniers affrontements.

«Les affrontements autour de questions de pâturage sont fréquentes dans cette région,» a commenté le porte-parole de la police nationale, Eric Kiraithe.

Les Pokomo sont essentiellement des agriculteurs sédentaires, installés le long de la rivière Tana. Les Orma sont eux majoritairement des éleveurs nomades.

Plus de 100 personnes avaient déjà été tuées en 2001 dans des affrontements entre ces deux communautés, liés à l'accès aux terres et à une rivière dans la même région. «Depuis, nous vivions dans une paix relative,» a affirmé M. Mungatana.

Les attaques entre communautés qui se disputent des terres de pâturage et des points d'accès à l'eau sont également fréquentes dans le nord et l'est du Kenya.

Fin 2007 et début 2008, des violences ethniques avaient déchiré le pays provoquées, elles, par la réélection contestée du président Mwai Kibaki contre Raila Odinga, devenu depuis Premier ministre, deux hommes forts de deux communautés différentes.

Plus de 1.000 personnes avaient été tuées et des centaines de milliers d'autres déplacées.




Jesus Painting Restoration Goes Wrong:
Well-Intentioned Old Lady Destroys 100 Year Old Fresco


The Inquisitr
Posted: August 22, 2012

The woman, in her 80s, completely destroyed the painting.

The BBC reports that the Jesus Christ fresco, Ecce Homo (Behold the Man) by Elias Garcia Martinez, had been in the church for over 100 years and had started to deteriorate due to moisture. The woman noticed that the painting needed a touch up so she brought her supplies to the church and started painting. Church officials didn’t realize what was happening until it was too late.

Juan Maria Ojeda, the City Councillor in charge of cultural affairs, said:

“I think she had good intentions. Next week she will meet with a repairer and explain what kind of materials she used…. If we can’t fix it, we will probably cover the wall with a photo of the painting.”

The BBC notes that the fresco wasn’t particularly valuable, but it did have plenty of sentimental value for the church.

Here’s a before and after photo of the Jesus Christ fresco.



Celebratory gunfire kills the groom at Kuwait wedding

Elizabeth Dickinson
The National

Aug 22, 2012

Kuwait City // A Kuwaiti groom was killed on his wedding day after his friend accidentally shot him.

The friend, who surrendered to police, shot Abdullah Al Khaldi, 24, inside a car that was taking the wedding party to the marriage celebration.

Mr Khaldi, who worked for the ministry of defence, died before reaching hospital.

The incident, in Al Jahra neighbourhood of Kuwait City, has reignited a debate about civilian possession of firearms, which is legal in Kuwait.

Several former opposition MPs blamed the government for Tuesday’s tragedy, saying the state had failed to crack down on arms caches held by citizens.

Dr Waleed Al Tabtabai, a former Salafist MP, called for a campaign to seize arms from civilians, similar to one that was launched the First Gulf War.

Between 1992 and 1994, the Kuwaiti government gave its security forces broad powers to enter private homes and collect weapons.

In 2007, the Small Arms Survey ranked the country 18th in the world for its high rate of civilian arms. It estimated that there were 630,000 small arms in the country, or 24.8 for every 100 citizens.
Saudi Arabia, Bahrain and Oman are also in the top 20 for civilian possession of guns.

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